Le Guide des Cols
Longueur : 17,2 km
Altitude : 2 115 m
Dénivellation : 1 268 m
% moyen : 7,4 %
% maximal : 10 %
Record de l'ascension :
Jan Ullrich (49'31)
le col du tourmalet (depuis sainte-marie-de-campan)
Longueur : 4/4
Difficulté : 3/4
NOTE : 9/10
Prestige : 1/1
Paysage : 1/1
les passages-clÉs de l'ascension
Le versant est débute à Sainte-Marie-de-Campan, et sa fameuse église.
Le début est facile avec des pourcentages modestes (5 %) sur une route rectiligne.
Une stèle dédiée à l’ancien directeur du Tour de France est présente au sommet.
Le versant est débute à Sainte-Marie-de-Campan, et sa fameuse église.
toponymie
préparer sa sortie
Le nom du col désigne une « montagne lointaine », et non un « mauvais détour » comme le développa une interprétation au XIXe siècle suite aux mésaventures des premiers touristes.
Gare la plus proche : Tarbes
Ravitaillement : Score supermarché (résidence Plein ciel à La Mongie)
Boisson : Toilettes publiques à La Mongie
Magasin de vélos : Intersport (place des Monges à La Mongie)
tourisme
Incontournable : Le Pic du Midi de Bigorre (2 876 m)
Autres activités sportives : La montée à pied vers le Pic du Midi (7 km) en passant par le Lac bleu
Hébergement : Hôtel La Mandia (avenue du Tourmalet à La Mongie)
idée de circuit
Double montée du Tourmalet :
- Col du Tourmalet
(possibilité de grimper jusqu'au Pic du Midi de Bigorre en VTT)
(depuis Luz-Saint-Sauveur)
36 à 42 km de montée
2 670 à 3 190 m de dénivelé
les moments forts de l'histoire du col
Le Tourmalet est franchi pour la première fois par le Tour de France lors de l'étape Luchon-Bayonne en 1910. L'année précédente, l'envoyé spécial de Desgrange Alphonse Steines avait jugé l'ascension parfaitement praticable, en dépit de la neige qui l'avait bloqué à 4 km du sommet.
Lapize remportera cette étape de 327 km en 14h10.
À la sortie du paravalanche et peu avant La Mongie, le champion du monde se rend à l'évidence et nous offre un beau geste de fair-play.
Le Tourmalet est franchi pour la première fois par le Tour de France lors de l'étape Luchon-Bayonne en 1910. L'année précédente, l'envoyé spécial de Desgrange Alphonse Steines avait jugé l'ascension parfaitement praticable, en dépit de la neige qui l'avait bloqué à 4 km du sommet.